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Un nez mal formé ou imparfait est une source de complexe, car impossible à cacher. Ainsi, la rhinoplastie est une alternative pour mieux se sentir dans sa peau. Cependant quel est le bon moment pour se permettre une rhinoplastie ?
Attendre d’avoir 18 ans
Une rhinoplastie doit effectuer après la croissance osseuse et cartilagineuse, et le développement de l’organe. Bien sûr, 18 ans est un âge théorique en France. Consulter un chirurgien esthétique à Paris pour être sûr du diagnostic. En effet, les meilleurs chirurgiens en reconstitution anatomique habitent dans cette ville.
Les enfants souffrant de malformation du nez peuvent suivre une opération bien avant la majorité. Aussi, les enfants ayant atteint une maturité psychologique avant l’âge adulte peuvent être opérés. En conséquence, un adolescent de 14 ans pourrait subir une chirurgie esthétique avec l’accord signé de ses parents ou tuteurs.
Quand son nez est un complexe
Un nez tordu ou la déviation de la cloison nasale sont source de défauts esthétiques. Le nez étant situé sur le visage, il est difficile de le cacher d’où découle le complexe d’infériorité en termes de beauté. Le patient doit avoir une bonne raison de changer l’aspect de son nez sinon son opération est tout simplement annulée. De ce fait, un nez large, arrondi ou fendu est une bonne raison.
Par ailleurs, un nez épaté, bossu ou très aplati est inesthétique. Noter qu’un nez aplati est aussi responsable des problèmes respiratoires alors une rhinoplastie est nécessaire. De la sorte, l’examen clinique confirme si les désirées du patient sont réalisables afin de reconstruire un nez esthétique et pour vaincre la complexité.
Quand un bon chirurgien est disponible pour la rhinoplastie
Ce serait bien dommage de dépenser environ 8 000 euros pour finir insatisfait. Pire encore, se retrouver avec un plus gros complexe qu’auparavant. Sachant que le but est d’avoir un nez à l’aspect naturel, seul un spécialiste, renommé, doit procéder à l’opération.
Prendre, l’avis de deux experts différents est conseillé, pour choisir celui qui prend le soin d’écouter et de prévenir des risques. Il doit informer des contre-indications et des complications qui peuvent survenir au cours de l’opération.